Visiblement satisfait de la bonne tenu du congrès, Sidy Diallo a prodigué de sages conseils au nouveau bureau exécutif de l’organisation syndicale dont il a eu l’honneur d’être le premier dirigeant.
L’ancien secrétaire général du SPPG (syndicat de la presse professionnelle de Guinée) a félicité les membres du bureau en leur précisant que seuls les actes parlent.
« Je félicite le nouveau bureau. Et le plus important c’est les actes, parce que dans la vie ce sont les actes qui parlent, ce n’est pas cette histoire de titre. Et je vous assure qu’il peut y avoir un simple membre qui travaille mieux que le secrétaire général et c’est cela aussi la vie du syndicat. Je suis très fière. Je rends grâce à Dieu et je rends hommage à la toute première équipe du SPPG », a souligné l’ancien secrétaire général du SPPG.
Le nouveau secrétaire général n’a pas caché aussi ses sentiments. « Je suis très heureux. J’exprime un sentiment de gratitude, de reconnaissance envers les confrères. Cette victoire c’est notre victoire », s’est réjoui Sékou Jamal Pendessa avant de promettre qu’il fera tout pour que la loi portant sur la liberté de la presse soit respectée et qu’il y ait plus d’union dans la corporation du monde des médias de Guinée.
« Nos efforts seront de faire en sorte que la loi L002 et tous ceux qui l’accompagne soient vulgarisés. Que vous soyez juristes ou pas, une fois que vous êtes journalistes, que vous soyez capables de maitriser les aspects élémentaires de ces textes pour vous éviter des problèmes.
Je promets de l’union au sein de la presse. Je suis marqué de fait que depuis six mois je le disais hier j’ai été sollicité par des journalistes de toutes les ethnies, j’incarne cette union que la presse a besoin », a promis Pendessa.
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« Un moment donné il faut le reconnaitre on était en face d’un vent de désunion qui a voulu souffler sur notre corporation et heureusement vous avez accepté de désigner la bonne personne pour recomposer les morceaux », s’est-il félicité.
A noter qu’ils sont au nombre de dix élus dans ce bureau pour un mandat de cinq ans, au lieu de trois ans comme au paravent.
Souleymane Bah pour Guinee114.com
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