Un procès s’ouvre le 25 juin 2021 à Abuja, capitale du Nigéria. Il oppose Abdourahamane SANOH, Ibrahima Diallo, Sékou koundouno et cinq (5) autres personnes tous membres Front national pour la défense de la constitution (FNDC) à l’Etat guinéen devant la Cour de justice de la CEDEAO (Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest). C’est du moins l’information partagée ce mardi par le FNDC.
C’est un procès qui fait suite à une plainte déposée à la cour de justice de la CEDEAO par les avocats du FNDC suite aux arrestations musclées et violentes des leaders du mouvement en octobre 2019. Face aux avocats du FNDC Me Mohamed Traoré, Me Pépé Antoine LAMA et Me Salifou Béavogui, l’Etat guinéen sera défendu par Me Joachim Gbilimou.
L’audience, selon nos informations, se passera sur une plateforme en ligne «dont le lien est communiqué aux avocats des parties».
Nos mêmes sources indiquent qu’«une autre procédure engagée par le FNDC en rapport avec la contestation du changement constitutionnel en Guinée dans le but d’enfreindre au principe de l’alternance démocratique, en violation des textes de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance, suit son cours normal et sera programmée dans les prochains mois».
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Thierno Amadou M’Bonet Camara (Rescapé N°4)
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