Moussa Moïse Sylla à propos du Général Doumbouya : « C’est un président qui parle par les actes »

Ce vendredi 9 mai 2025, le ministre de la Culture, du Tourisme et de l’Artisanat a pris part à une lecture du Saint Coran suivie de prières et de bénédictions en faveur du président de la Transition, de son gouvernement, ainsi que pour la réussite de la transition, à la mosquée An-Nour de Simbaya, dans la commune de Matoto.Cette initiative de l’Union Communale Professionnelle des Boulangers et Pâtissiers de Sonfonia visait à témoigner leur soutien au Général Mamadi Doumbouya.

À cette occasion, Moussa Moïse Sylla a tenu un discours dans lequel il a affirmé que le chef de l’État « parle par les actes ».

« Il n’a pas le temps pour le bavardage. C’est un président qui parle par les actes, par les acquis et par ses réalisations. Un tel président est donc une chance pour la Guinée.Au moment où nos ennemis prient pour qu’il tombe, nous avons besoin de personnes comme l’imam ratib de la mosquée An-Nour de Simbaya pour prier afin qu’il ne tombe pas, afin qu’il reste au pouvoir.Nous avons besoin, dans le contexte actuel, de prières et de lectures du Saint Coran, que ce soit dans les mosquées ou dans les églises, pour la protection du président de la République. Nos ennemis ne dorment pas, nous ne devons pas dormir non plus.Je voudrais rassurer l’imam de la mosquée An-Nour, la mosquée de la lumière. C’est peut-être pour cela que le Tout-Puissant vous a envoyé un éclat de lumière, pour vous montrer que vous êtes réellement porteurs de lumière.Je vous encourage à poursuivre dans cette voie, à prier pour le président, à prier pour la Guinée », a déclaré Moussa Moïse Sylla.

Il a également invité l’imam à sensibiliser les fidèles musulmans sur l’importance du recensement biométrique en cours, à chaque occasion qui se présente. « Chaque fois que vous avez l’occasion de leur demander de se faire recenser, faites-le. Les avantages sont nombreux : nous sommes dans une phase de consolidation d’un véritable État. Un État, c’est une entité qui maîtrise ses statistiques, qui connaît le nombre de sa population.Mais si vous n’avez pas ces données, vous ne pouvez pas élaborer de plans de développement. Ce recensement est donc essentiel pour établir ces statistiques. Et au-delà, nous avons besoin de documents d’état civil authentiques et infalsifiables », a-t-il souligné.

À l’issue de cette cérémonie, le ministre et sa délégation ont pris la direction de Moussaya, dans la préfecture de Forécariah, pour poursuivre la campagne de sensibilisation autour du PN-RAVEC.

Mamadou Macka DIALLO

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