Charles Wright et KPC : l’éclatement d’une alliance aux mœurs corrompues ?

Les obscènes scènes qu’offrent le ministre Charles Alphonse Wright et l’entrepreneur Kerfalla Camara KPC de GUICOPRES au monde mettent également à nu les méfaits d’une secrète alliance politico- financière entre les deux hommes encore plus scandaleuse sur le dos de l’Etat et des Guinéens que les honteux spectacles qui dégradent l’image de la Guinée. Les gravissimes révélations aux mœurs corrompues venues des deux et de leurs clans obligent le Président Mamadi Doumbouya, qui a fait de la répression des malversations financières sa priorité, à restaurer la dignité du pays et à défendre les intérêts de l’Etat dans ce crapuleux deal amenant un important ministre de la République de surcroît celui de la justice et sa famille à se faire entretenir par un entrepreneur accusé d’obtention de marchés gré à gré et de surfacturations.

L’alliance vole en éclats, la guerre est déclenchée entre Alphonse Charles Wright et Kerfalla Camara KPC, l’heure est aux grands déballages très incrimnant pour les 2 anciens alliés. Comme frappés par des péchés et crimes inexpiables, Alphonse Charles Wright et Kerfalla Camara KPC s’exposent pas seulement dans leur nudité, mais aussi et surtout les dessous de leur satanique partenariat sur le dos de l’Etat. Il est vrai que les honteux spectacles que les 2 hommes suscitent et financent chez leurs partisans et proches, dégradent considérablement l’image de la Guinée et des Guinéens consciencieux partout où ils se trouvent sur la planète.

Les hideuses images exhibées avec fierté et les vulgaires commentaires qu’elles alimentent sur la toile et dans la rue suffisent pour se faire une nette idée sur les basses manœuvres des deux clans. Il est vrai que dans le passé, Kerfalla Camara KPC a été au centre de la destruction du foyer conjugale de plus de vingt (20) ans de l’ancien international, Aboubacar Titi Camara.

Le patron de GUICOPRES se fait également remarquer sous les traits d’un prétentieux se bombant le torse après ses frasques et conquêtes intimes présumées avec les épouses de personnalités qu’il semble brandir comme des trophées de guerre. Alphonse Charles Wright, se révèle aussi Don Juan irresponsable avec ces multiples aventures qu’il avoue lui-même inconsciemment dans sa pathétique et malheureuse réaction aux accablantes déclarations de son épouse dame Wright Aïcha Kaba. la gravité des griefs portés à l’encontre de l’un et l’autre par les victimes et leurs aventures féminines présumées en ce mois international des droits des femmes, la gravité de ces mœurs légères est sans équivoque, mais elles auraient pu être circonscrites comme une atteinte à la pudeur publique si entre le ministre Alphonse Charles Wright et Kerfalla Camara KPC l’alliance secrète n’était pas corrompue par des malversations et pillages des ressources de l’Etat que les déclarations de Mme Wright Aïcha Kaba exhument et exposent sur la place publique involontairement.

En effet, il ressort des explications qu’entre, d’une part, le ministre Alphonse Charles Wright crédité d’une bonne réputation et, de l’autre, l’entrepreneur Kerfalla Camara KPC jouissant de nombreux marchés d’Etat au ministère de la Justice, pourrait exister un deal compromettant aux yeux de l’opinion. Sur quelle base, Kerfalla Camara KPC a parrainé l’exil de la Famille du ministre Charles Wright en France ? Pour quel service verserait-il mensuellement 5 000 euros à Mme Wright Aïcha Kaba ? Pourquoi aurait-il acheté un appartement pour la Famille Wright en France et d’où est venu l’argent de l’achat ?

À partir de ces trois  cas seulement évoqués par Dame Wright dans son rocambolesque récit, Alphonse Charles Wright est-il réellement le vertueux ministre auquel le Général Mamadi Doumbouya admire et fait confiance ? Charles Wright est-il sincère, qualifié pour réprimer la corruption en Guinée ? N’a t-il pas servi de couverture et de protecteur pour l’entrepreneur Kerfalla Camara KPC souvent accusé de surfacturations dans des marchés gré à gré et de travaux approximatifs, de chantiers inachevés ? Pourquoi, sans Appels d’offres, Kerfalla Camara KPC  ou ses proches auraient 90% des contrats au ministère ( construction et rénovation des centres pénitentiaires et autres ) sont attribués aux entreprises appartenant à KPC et où à des proches? Sous le manteau d’un ministre vertueux impitoyable dans la lutte contre la corruption, les détournements et vols, Alphonse Charles Wright n’a t-il pas jouer à la manipulation de Kerfalla Camara KPC  contre certaines personnalités jugées gênantes aujourd’hui et demain afin d’aider l’entrepreneur à assouvir les sombres desseins et ambitions politiques mal contenues ? Kerfalla Camara KPC n’a t-il pas le même genre de deal avec d’autres membres du Gouvernement qu’il enrichi grâce à la surfacturation des marchés d’état comme la rénovationdu stade de Nongo retiré à une entreprise turk légalement qui l’alégalement obtenu au profit de guicopress qui n’avaitnullement participé l’appeld’offres?

D’autre part, le ministre Alphonse Charles Wright est-il digne d’incarner un Etat d’un pays où il fait fuir ses Familles ? Pourquoi des blogueurs injurieux à l’égard du Général Mamadi Doumbouya et farouchement hostiles à son régime comme Djibril AGI de Dakar, défendent-ils Alphonse Charles Wright ? Ces faits et points d’interrogations, méritent un audit des marchés attribués à l’entreprise GUICOPRES. Le Général Mamadi Doumbouya, pour la crédibilité de sa Gouvernance, doit faire prévaloir son autorité.

Moussa Daffe

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