A la cérémonie d’ouverture des travaux, le président de la Haute Autorité de la Communication (HAC) du Mali a donné ses impressions en ces termes.
De son côté également, le président du Conseil Supérieur de la Communication (CSC) du Burkina Faso a expliqué l’importance de la tenue de ce forum pour ces trois pays en transition et plus particulièrement le Mali et le Burkina Faso qui traversent une situation sécuritaire et humanitaire compliquée.
«Je pense que c’est une bonne chose qu’on tienne ce forum-là parce que nos trois pays sont dans des situations de transition politique, j’allais dire malheureusement vivent pour ce qui est de Burkina Faso et du Mali une situation sécuritaire, humanitaire qui fait qu’il est important qu’on ait une presse à la fois professionnelle pour bien éclairer l’opinion publique mais aussi responsable pour éviter que leurs activités ne fragilisent encore nos pays. En tant que régulateurs, nous avons un rôle important à jouer au niveau des autorités politiques mais un rôle important à jouer aussi auprès des acteurs médiatiques de sorte à ce que ces acteurs-là puissent nous aider à sortir de ces transitions politiques mais aussi à faire face aux déficits sécuritaires et humanitaires auxquels nos pays font face», a martelé Abdoulazize Bamogo, président du CSC.
Le président de la HAC guinéenne, Boubacar Yacine Diallo et ses hôtes signeront un protocole de partenariat au terme de ces échanges qui prendront fin demain mardi.
Mamadou Macka Diallo
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