Gestion des ordures à Conakry: une grande amélioration à l’actif de Papa Koly (Par Mohamed Lamine Bah)

C’est une réalité visible aujourd’hui partout dans la capitale guinéenne. Il faut être de mauvaise foi pour ne pas le reconnaître.
Ces derniers temps, il y a eu une nette amélioration de la gestion des ordures à Conakry. Depuis la nomination de Papa Koly Kourouma à la tête du département de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Conakry a changé de visage. Autre fois connue pour son insalubrité qui était souvent source de soulèvement populaire à des endroits, la capitale guinéenne noue avec la propreté. Depuis la création en avril 2019 d’un ministère en charge de l’Assainissement, à sa tête Papa Koly Kourouma, les manifestations contre l’insalubrité ont cessé.
Et depuis, Conakry devient de plus en plus propre grâce à la stratégie de gestion mise en place par Papa Koly Kourouma. Il s’agit de confier la gestion des ordures à des sociétés spécialisées en la matière avec une consigne ferme: Rendre au plus vite Conakry propre avec pour “slogan Conakry, ville propre”.
Une initiative de Papa Koly Kourouma qui a porté ses fruits à travers la capitale. Aujourd’hui, nombreux sont ces citoyens de Conakry qui s’en réjouissent. Les montagnes d’ordures le long des artères de Conakry ont disparu. Des poubelles mobiles sont installés le long des routes. Dans les quartiers, des habitants qui déboursaient  jusqu’à 50.000 francs guinéens par mois pour faire enlever  leurs déchets ménagers par des PME peu équipées, orientent cette somme à autre chose désormais. Ils envoient les déchets qu’ils produisent dans les poubelles mobiles installées le long des axes routiers de la capitale. Des camions de ramassage passent chaque jour pour évacuer ces déchets.
L’autre bénéficie que cette initiative du Ministre d’État, Ministre en charge de l’Assainissement a généré c’est l’emploi de centaines de jeunes et de femmes par la société chargée de la mise en exécution du programme d’assainissement de la capitale. Des emplois directs et indirects qui permettent de nos jours à plusieurs familles de se nourrir.
Par Mohamed Lamine Bah

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