C’est un pays en pleins chantiers routiers avec une gouvernance résolument engagée au désenclavement du pays et à la construction des routes modernes qui défieront le temps. Des routes urbaines aux routes nationales en passant aux routes communautaires ouvertes sur l’ensemble du territoire, les guinéens pourront bientôt siffler la fin d’un long calvaire qui rime avec ce dicton populaire qui nous enseigne que : ‘’ il n’y a pas de récompense sans sacrifice ‘’. Malgré l’impatience des usagers des différents axes routiers du pays, le département en charge des Travaux Publics tient au respect strict des cahiers de charges et ou, au respect des délais contractuels. La modernité, la durabilité et la fiabilité sont les maîtres mots. Les chantiers doivent évolués au rythme des ambitions fixées et des objectifs assignés par le département sous la clairvoyance du Chef de l’État, Pr. Alpha Condé. Il a hérité d’un réseau routier totalement en lambeaux à la place des nids-de-poule, on y trouve des nids-d ’éléphant. Tout était à refaire ou presque. C’est pourquoi, dans son ambitieux projet de construction et de modernisation des routes du pays, il a jeté son dévolu sur l’un de ses fidèles lieutenants, doté d’énormes capacités managériales et de compétences académiques pour sa réalisation conformément à l’idéal fixé. Ça travaille au pays d’Alpha Condé, l’homme du bonheur tranquille et des aspirations meilleures en faveur de son peuple dont l’histoire est marquée par des balbutiements qui se racontent avec un pincement du cœur. L’homme providentiel, le Président Alpha Condé, a trop retardé, plus qu’un Moïse, l’ancien Président de la FEANF est une icône immortelle et un ‘’ prophète’’ de notre siècle avec ses apôtres, porteurs d’espérance.
Avec la 4ème République, la Guinée connaîtra un nouveau départ avec des défis énormes mais pas impossibles dans le domaine routier avec des infrastructures de qualité et en quantité. En guise d’illustration de ces chantiers routiers en cours en république de Guinée, on peut citer :
– Coyah-Frontière Sierra Leone, Coyah-Mamou-Dabola-Kouroussa, les voiries de Pita, Labé, Dalaba, Lola, Beyla, Télimelé, Conakry, Kindia, les ponts sur le Milo à Kérouané, Sankarani à Mandiana, sur la Soumba à Dubréka, celui de Koussi (terminé), Gueckédou-Kondembadou, Boké-Quebo-Frontière Bissau, Kankan-Mandiana. Le tout pour plus de 800km qui seront terminés très bientôt à ce rythme d’évolution.
L’espoir est permis, le calvaire auquel sont confrontés les citoyens n’est que pour un temps et les guinéens vont bientôt se frotter les mains pour dire à dieu aux mauvaises routes.
Le département est à pied d’œuvre pour ne perdre aucune minute sans laisser un seul détail minime qu’il soit dans l’exécution des travaux. Cette dynamique en cours doit s’inscrire dans la durée.
En tout cas, le Chef de l’État peut compter sur son Ministre des Travaux publics pour mener à bien cette vaste ambition d’une Guinée dotée d’infrastructures routières modernes, durables car, aucun développement n’est possible sans le développement du réseau routier. C’est une des conditions sine quanones pour l’émergence économique et le développement accéléré d’un État.
La machine du développement routier est en branle que nul n’arrête la dynamique progressive enclenchée. Notre pays sera bientôt parmi les destinations dans un futur proche. Loin des promesses habituelles, cette fois-ci, c’est une réalité absolue. Le réseau routier guinéen se construit et se modernise grâce aux efforts intarissables et inlassables du Chef de l’État, Pr. Alpha Condé avec l’appui de Moustapha Naïté, Ministre des Travaux publics. Oui, à cœur vaillant, rien d’impossible.
Tamba Eugène Kamano, Ingénieur BTP