Liberté de la Presse : Le Colonel Mamadi Doumbouya, soutien indéfectible des médias

Dès le 20 septembre 2021, moins d’un mois après la prise de responsabilités des Forces armées guinéennes dans la conduite des affaires de l’État, le Colonel Mamadi Doumbouya s’est illustré en ami de la presse et grand défenseur de la liberté de celle-ci. Ainsi, parmi les couches socioprofessionnelles reçues par le numéro Un du CNRD dans le cadre d’une vaste concertation ouvertes au Palais du Peuple, figuraient en bonne place les organisations de presse. Le Président de la Transition a non seulement accédé à la demande de l’ensemble des médias de restaurer la Haute Autorité de la Communication, une exception dans un contexte marqué par la suspension de toutes les institutions républicaines, mais aussi, il a permis aux journalistes munis de leur carte de presse de circuler désormais avec ce coupe-file pendant les heures du couvre-feu qui était alors en vigueur (22h-4h).

Dans le même ordre d’idées d’ouverture aux médias, deux places ont été accordées à la presse au Conseil National de la Transition, qui fait office d’organe législatif, pour défendre les intérêts de la corporation et la liberté d’expression.
Aussi la presse ne cesse-t-elle de mentionner et de magnifier la confiance ainsi que le soutien du Président Mamadi Doumbouya à son égard.

Du 05 septembre 2021 à nos jours, plus d’une trentaine de journalistes ont été promus à des postes de responsabilité dans l’Administration publique, au nom de la vision du Président de la Transition de faire une refondation de l’Etat sans exclure aucune sensibilité socioprofessionnelle.

Le 07 janvier 2022, le Colonel Mamadi Doumbouya a ouvert les portes du Palais Mohammed V et y a reçu ses soeurs et frères journalistes autour d’un déjeuner de presse convivial. A cette occasion, les deux demandes les plus pressantes étaient la revalorisation de la subvention accordée aux médias privés et l’acquisition d’une Maison de la presse.
Et chose promise, chose faite : au cours de l’année 2022, la subvention annuelle aux médias a été doublée, passant ainsi d’environ trois milliards à environ six milliards de francs guinéens, une aubaine pour la corporation. A Conakry et dans quatre capitales régionales, des édifices ont été mis à la disposition des organisations des médias pour servir de Maisons de la presse. Les journalistes ont désormais une chaine de Maisons de la presse dans la capitale et à l’intérieur du pays : une première en Guinée et dans la sous-région pour ne pas dire en Afrique en termes d’appui aux capacités des médias.

Malgré les critiques parfois acerbes, nonobstant quelques dérives inhérentes à toute profession (que les médias s’atteleront à corriger d’eux-mêmes), le Président du CNRD ne s’est nullement jamais montré agacé, son attachement à la liberté de la presse non plus n’est affecté. C’est pourquoi, non seulement aucun journaliste n’est en prison du 5 septembre 2021 à nos jours contrairement au passé, mais aussi, aucun des centaines de médias privés n’est empêché ou inquiété dans l’exercice de ses fonctions par le Président du CNRD. Bien au contraire !
Des instructions fermes ont été données au gouvernement et particulièrement au ministère de l’Information et de la Communication afin d’assurer la liberté d’expression et œuvrer en faveur de l’épanouissement d’une presse guinéenne dynamique et responsable.
Jamais un chef de l’État guinéen n’a été aussi proche des médias nationaux comme le colonel Mamadi Doumbouya. L’histoire s’écrit en actes.
DCI-PRG

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