Le ministre de la Santé en 2009 est toujours à la barre du tribunal de première instance de Dixinn dans le cadre du procès des événements du 28 septembre. Répondant aux questions de son avocat, Me Bomby Mara, Colonel Abdoulaye Chérif Diaby a donné ses sentiments par rapport à la tenue de ce procès.
« Aujourd’hui, je me suis déchargé. Je le dis parce que j’avais un poids moral sur ma tête. Je voulais tellement que ce procès se tienne, pour que je dise ma part de vérité dans cette affaire. Je me sens libéré parce que j’ai dis ce que je sais au tribunal. J’étais vraiment mal en point », a laissé entendre Colonel Chérif Diaby, ministre de la Santé pendant les événements du 28 septembre 2009.
Après les questions du tribunal, du parquet, de la partie et de la défense, la parole est revenue au procureur de la République près le tribunal « pour des questions de précision ».
A signaler qu’après Toumba, l’ancien ministre de la santé est le second accusé à se sentir libre après avoir dit sa part de vérité dans l’affaire du 28 septembre 2009.
Le ministre de la Santé en 2009 est toujours à la barre du tribunal de première instance de Dixinn dans le cadre du procès des événements du 28 septembre. Répondant aux questions de son avocat, Me Bomby Mara, Colonel Abdoulaye Chérif Diaby a donné ses sentiments par rapport à la tenue de ce procès.
« Aujourd’hui, je me suis déchargé. Je le dis parce que j’avais un poids moral sur ma tête. Je voulais tellement que ce procès se tienne, pour que je dise ma part de vérité dans cette affaire. Je me sens libéré parce que j’ai dis ce que je sais au tribunal. J’étais vraiment mal en point », a laissé entendre Colonel Chérif Diaby, ministre de la Santé pendant les événements du 28 septembre 2009.
Après les questions du tribunal, du parquet, de la partie et de la défense, la parole est revenue au procureur de la République près le tribunal « pour des questions de précision ».
A signaler qu’après Toumba, l’ancien ministre de la santé est le second accusé à se sentir libre après avoir dit sa part de vérité dans l’affaire du 28 septembre 2009.