La sélection nationale de notre pays vient d’écrire une nouvelle page de son histoire afférente à son parcours, qui a connu des hauts et des bas, à la compétition la plus prestigieuse d’Afrique, la CAN, en l’occurrence.
La première participation du Syli National remonte au début des années 70. Outre la finale, perdue, qu’il a disputée, en 1976, sur les hauteurs d’Addis-Abeba, face aux Lions de l’Atlas, et les quarts de finale de 2008, au Ghana, le Syli National n’était jamais arrivé, avec brio, à ce stade de la compétition.
Il faut dire, d’emblée, que c’est sous l’ère de l’Homme Providentiel, le Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Forces Armées Guinéennes, Son Excellence le Général Mamadi Doumbouya, que le Syli National est en train de sortir de sa léthargie doublée de sa longue période d’hibernation.
Grâce à la vision, à l’énergie, à la vitalité, au charisme, au patriotisme viscéral et au dynamisme de notre cher Président-bâtisseur, Son Excellence le Général Mamadi Doumbouya, la refondation positive de l’État se traduit aussi par la renaissance du Syli National, porte-étendard par excellence de notre tricolore.
« Le Syli, fierté nationale. Félicitations pour cette exceptionnelle victoire contre la Guinée Équatoriale ( … ). Vous avez honoré la Guinée et fait résonner notre hymne national avec une détermination exemplaire », s’est réjouit le Père de la Nation sur le réseau social X (anciennement dénommé Tweeter ).
Le Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Forces Armées, ne supporte guère de voir notre beau pays, jadis livré à lui-même, à la traîne. C’est justement dans cette logique qu’à l’occasion de la 34ème édition de la CAN, le Père de la Nation, justicier social par essence, a mis le Syli National dans toutes les conditions idoines lui permettant de hisser, vaille que vaille, le Rouge-Jaune-Vert, sur le toit de l’Afrique.
Avec l’illustre enfant prodige de Kankan-Nabaya, c’est le retour, en grande pompe, de la République de Guinée, au devant de la scène continentale et mondiale. Dans tous les domaines, bien entendu.
À vos ordres, mon Général !
Mandian SIDIBÉ
Journaliste