Nelson Mandela disait :« Priver les gens de leurs droits fondamentaux revient à contester leur humanité même ».
Ainsi, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, stipule également que : « La liberté de conscience, la profession et la pratique libre de la religion sont garanties. Sous réserve de l’ordre public, nul ne peut être l’objet de mesures de contrainte visant à restreindre la manifestation de ses libertés ».
Tels que consacrés par la déclaration Universelle des Droits de l’Homme du 26 août 1978 dans son article 26 qui stipule : « les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants » et dans son article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ». Les autorités doivent privilégier l’éducation qui demeure le socle de tout développement d’une manière générale, et particulièrement celle des jeunes filles qui sont les mères de la société.
Par ailleurs, avec de la bonne volonté et cet esprit patriotique affiché pour la construction d’un Etat de droit au service de l’humanisme, du vivre ensemble avec un brassage culturel entre les citoyens et leurs religions tout en adaptant les décisions administratives et les lois à nos valeurs et mœurs avec des règles qui nous ressemble et qui nous rassemble sans aucune discrimination aucune .
IBRAHIME MANSARE, PhD
Porte-parole de l’Union des écoles franco-arabes de Guinée
Nelson Mandela disait :« Priver les gens de leurs droits fondamentaux revient à contester leur humanité même ».
Ainsi, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, stipule également que : « La liberté de conscience, la profession et la pratique libre de la religion sont garanties. Sous réserve de l’ordre public, nul ne peut être l’objet de mesures de contrainte visant à restreindre la manifestation de ses libertés ».
Tels que consacrés par la déclaration Universelle des Droits de l’Homme du 26 août 1978 dans son article 26 qui stipule : « les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants » et dans son article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ». Les autorités doivent privilégier l’éducation qui demeure le socle de tout développement d’une manière générale, et particulièrement celle des jeunes filles qui sont les mères de la société.
Par ailleurs, avec de la bonne volonté et cet esprit patriotique affiché pour la construction d’un Etat de droit au service de l’humanisme, du vivre ensemble avec un brassage culturel entre les citoyens et leurs religions tout en adaptant les décisions administratives et les lois à nos valeurs et mœurs avec des règles qui nous ressemble et qui nous rassemble sans aucune discrimination aucune .
IBRAHIME MANSARE, PhD
Porte-parole de l’Union des écoles franco-arabes de Guinée