L’ouverture des classes session 2022-2023 dans les institutions d’enseignement supérieur en Guinée a eu lieu ce mercredi comme l’a annoncé la ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation.
Très tôt ce matin, nous avons rencontré des étudiants au sein de ce grand établissement universitaire qui nous ont décrit le climat de cette première journée.
Ibrahima Kourouma qui a été orienté à l’UGLCS explique sa situation.
«La première journée comme tout le monde ça va être un peu difficile et c’est ce qu’on est en train de vivre là. Puisqu’il faut qu’on demande des gens concernant les inscriptions et les salles de classe de notre département de Lettre Moderne. Il est écrit dans la fiche d’emploi du temps que nous devons aller à Kipé, sans faire trop de détails. Et maintenant nous ne connaissons pas c’est qu’elle partie de Kipé…Et la dame qu’on a trouvée dans la scolarité nous demande de partir dans les classes étant donné qu’on a même pas fait les inscriptions. Et sur la plate-forme GUPOL ils nous ont demandé seulement de valider nos orientations et de faire l’inscription. Sur la plate-forme l’inscription n’a pas été facile, j’ai juste pu valider mon orientation. J’ai déjà mon emploi puisqu’il est affiché ici et nous avons 2 jours de cours chaque semaine et nous suivrons les cours à Kipé (À l’école de tourisme)», nous a confié Ibrahima Kourouma.
Un autre étudiant de la troisième année Animation Culturelle a exprimé ses sentiments.
«On a un sentiment de joie le fait d’avoir retrouvé nos amis. C’est très important nous sommes dans cette sympathie. Nous prions Dieu qu’il soit avec nous, nous comptons aborder cette nouvelle année dans la prospérité, dans la santé. Si Dieu nous accorde cette chance, nous voulons aller jusqu’au bout et avoir la réussite parce qu’on veut réussir. Je lance un appel fraternel à mes amis, à mes collaborateurs pour qu’ils soient là dès la semaine à venir parce qu’on ne peut pas chômer et avoir un bon niveau. Donc il faut être assidu, ponctuel, régulier c’est ce que je leur demande», a lancé Ouendeno Saa Bobo.
Mamadou Macka Diallo
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