Sous le leadesrhip, la houlette, la clairvoyance et le sens élévé du devoir du Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Forces Armées, Son Excellence le Général aux quatre étoiles, Mamadi Doumbouya, la Guinée est en passe de reconquérir, progressivement, sa prestigieuse place sur l’échiquier continental et mondial, celle-là même qui fut la sienne dans les années 60, 70 et 80.
Depuis la date historique du 05 septembre 2021, la République de Guinée recouvre, doucement, mais sûirement, son statut de puissance diplomatique en Afrique et dans le reste du monde. C’est le lieu et le moment de faire un clin d’œil à notre émérite ministre des Affaires Etrangères, Docteur Morissanda Kouyaté en l’occurrence.
Grossomodo, le pays de feu Ahmed Sékou Touré, panafricaniste dans l’âme, Père fondateur de l’OUA, n’est plus un pays paria, relegué au dernier rang des nations.
Grâce au leadership et au patriotisme avéré de l’Enfant prodige de Kankan-Nabaya, la Guinée est plus que jamais visible et audible à travers le monde. Comme l’illustre d’ailleurs le voyage, à destination de Kigali, ce samedi, 10 août 2024, du digne héritier de Hadja Mandjoula Sylla, pour honorer de sa présence l’investiture du Président Kagamé du Rwanda.
A l’instar de nombreux de ses pairs sur le continent, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence le Général de corps d’armée Mamadi Doumouya, invité par son frère aîné doublé de son ami, Son Excellence le Président Paul Kagamé, à la cérémonie d’investiture de ce dernier, après sa brillante réélection en juillet dernier, à la magistrature suprême de son pays, est bel et bien présent à ce grand rendez-vous international de Kigali.
Une nouvelle occasion pour le Général-bâtisseur de renforcer le leadership de Conakry, sur le continent, sous le sceau, bien entendu, du panafricanisme.
Sous la direction éclairée du Général Mamadi Doumbouya, Conakry signe son retour en grande pompe au devant de la scène internationale. Pour le plus grand bonheur des filles et fils d’une Guinée indépendante et souveraine.
Mandian SIDIBÉ, Journaliste