Après le lancement de la plateforme de la remontée des informations le jour du vote, et dans le souci d’observer le maximum de bureaux de vote, le conseil national des organisations de la société civile (CNOS) renforce en théorie et en pratique la capacité de ses observateurs.
Au terme de cet exercice, Aboubacar Camara, formateur rappelle ce que les participants ont reçu de lui. « Ils ont reçu trois modules de formation. Il a été question d’animer une séance sur le cadre juridique et institutionnel des élections en République de Guinée. Également un code de bonne conduite l’observateur a été élaboré. On a eu des échanges fructueux sur le guide de l’observateur. En ce qui concerne le cadre juridique et institutionnel des élections en Guinée, ils a été question de les rappeler les instruments aussi bien internationaux qu’interne qui régissent le droit de vote en République de Guinée », a-t-il rappelé.
Aboubacar Sidiki Kourouma s’est réjoui d’avoir pris part à cette formation. « J’ai appris à être dans les normes du processus électoral, apporter de la crédibilité au processus électoral. Notre rôle c’est de remonter les informations aux mandataires ».
« Je suis là pour former ces observateurs dans le cadre de l’application que nous avons pour les smartphones. Et aux trois systèmes de remonter les informations : l’application Android ; les SMS et les appels téléphoniques. Donc c’est bien organisé », nous a confié pour sa part Fassou Condé Ingénieur, Informaticien et Encadreurs
«Quand ils sont déployés, c’est d’observer. Un observateur, un bureau de vote. Ils ne parlent pas, ils ne feront qu’observer ce qui se passe de l’ouverture des bureaux, jusqu’à l’affichage des résultats dans les différents bureaux de vote », a-t-il ajouté.
Souleymane Bah pour Guinee114.com
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